Jeux Favoris
J'espère que vous avez fait bon voyage, vous
êtes à présent
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n° ICQ : 87258482
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Passons aux choses sérieuses : les JEUX !
QUAKE 3 : (mon préféré, comme vous le remarquerez) Attendu par tous les "quakers", il est enfin arrivé le 15 décembre dernier ! L'attente fut longue mais grandement récompensée, croyez-moi. Les petits gars de chez ID Software savent encore faire des sacrés jeux et ils les paufinent au millimètre près.
Depuis le dernier Quake en date, on ne peut pas dire que le principe ait véritablement évolué, le but du jeu étant toujours de détruire ABSOLUMENT toute forme de vie, peu importe la taille et du moment que ça ait deux pattes minimum. Les boucheries se succèdent mais ne se ressemblent pas et c'est sûrement la simplicité du concept de Quake qui en fait un si grand jeu. Cette fois-ci, Quake 3 concentre toute son énergie sur le multijoueur et les amateurs de longs synopsys peuvent tout de suite se rhabiller. Ainsi, le mode solo a été pensé comme une suite de deathmatches bots compris où progressivement, vous apprendrez à parfaire vos techniques de combat et par dessus tout, vos réflexes. Après 24 niveaux intenses, le mode solo vous emmènera devant Xaero, le plus redoutable combattant de l'Arène. Brrr !
Pour le mode Deathmatch, ID Software a voulu réunir tout ce qui s'était fait de mieux pour Quake 2. On retrouve donc le classique Deathmatch mais aussi trois autres modes : Team Deathmatch, Capture The Flag et Tournament. Ce dernier mode consiste en fait en une suite de combats à mort où le vainqueur de chaque affrontement rencontre un nouvel adversaire et ainsi de suite, jusqu'à ce que mort s'en suive. Sans vraiment offrir d'innovations, Quake 3 Arena rassemble tout le meilleur du moment en matière de Quake-like (normal il fait partie de la famille :). Le système de bots est très au point et on peut même donner des ordres lors des CTF. En plus de vous offrir des insultes à tout-va, les bots disposent d'une intelligence plus que respectable. Avec leurs 5 niveaux de difficulté, ils vous donneront même du fil à retordre, beaucoup de fil quelquefois.
Techniquemennt, on peut dire que Quake 3 est à Quake 2 ce que Quake était à Doom. En clair, rien à voir. Tout le meilleur du graphisme 3D est réuni ici rien que pour vos yeux. Textures absolument hallucinantes, effets de lumière partout sur les murs, le sol, les items. Brouillard volumétrique à s'en faire péter les mirettes, fumées... bref, tout ce que vous avez toujours voulu voir sortir de votre carte 3D. Mieux, le nouveau moteur permet une chose qui fait pour moi vraiment la différence avec Unreal Tournament, les courbes. Rien n'est carré dans les niveaux : les arches, les bords des plates-formes, tout est rondouillet à souhait et en résumé, vous n'avez jamais rien vu de pareil !
En bref...
Après avoir gagné haut la main le prix du jeu le plus attendu et le plus retardé de l’année, Diablo 2 arrive enfin sur nos étals pour le plus grand bonheur d’un nombre incalculable de fans acharnés. Et vu le bruit que fait ce jeu depuis déjà bien longtemps, il y a fort à parier que de nombreux joueurs qui n’ont pas connu le premier épisode se jetteront eux aussi dans l’aventure. Quoi de neuf justement par rapport au premier opus ? Pour commencer, vous aurez le choix entre cinq classes différentes (Barbare, Amazone, Sorcière, Paladin, Nécromant) définies par des caractéristiques des plus classiques (force, énergie, classe d’armure...) que vous pourrez augmenter au fur et à mesure de votre progression dans les niveaux ou encore en récupérant du matériel magique. Comme souvent, les points d’expérience seront acquis exclusivement en tuant les divers monstres que vous rencontrerez, ce qui sera donc la seule voie possible vers la puissance. Votre personnage disposera en plus de capacités qu’il pourra augmenter lors de sa progression (30 par classe, divisées en 3 catégories). Ainsi, selon vos choix dans la répartition des points qui vous sont alloués à chaque niveau, votre Nécromancien pourra être spécialisé dans l’invocation de squelettes et autres golems ou encore dans les malédictions qui affaibliront vos ennemis. La sorcière utilisera principalement des sorts offensifs, le barbare sera le plus puissant guerrier (cris de guerre, maîtrise des armes...), l’amazone sera la spécialiste des attaques à distance et le paladin disposera d’un mélange de sorts offensifs et défensifs, ainsi que de bonnes capacités de combat.
Au chapitre des nouveautés, vous aurez aussi à votre disposition 4 royaumes à découvrir (qui correspondent aux quatre chapitres du jeu) avec à chaque fois une ville de départ où vous trouverez les classiques taverniers et forgerons, mais aussi des mercenaires à engager ou encore des gens pour faire une partie de dés entre deux expéditions :). Vous pourrez retourner en ville grâce à des portails que vous découvrirez sur votre route (et aussi avec les bons vieux parchemins), ce qui est toujours aussi vital, ne serait-ce que pour vendre les objets qui vous encombrent ou encore pour faire le plein de potions. Vous disposerez en plus d’un coffre dans la ville où vous pourrez entreposer les objets que vous ne voulez pas transporter avec vous (vous vous souvenez des tapis de pièces d’or du premier épisode ? :). Enfin, comme on pouvait s’y attendre, un nombre incalculable de nouveaux objets à été ajouté, ainsi que de nombreux nouveaux monstres et sortilèges. De son coté, l’interface est quasiment identique à celle du premier épisode avec des écrans d’inventaire, de personnage et un journal de quête qui vous rappellera à tout moment où vous en êtes. Les personnages sont toujours aussi maniables et simple à utiliser : vous disposez d’objets facilement utilisables dans votre ceinture, vous pouvez choisir les sorts que vous lancez d’un simple clic et la carte en surimpression a gagné des couleurs et quelques options bien pratiques.
Coté graphisme, si le premier chapitre laisse quelque peu à désirer (on sent qu’il a été conçu il y a longtemps :), la qualité s’améliore grandement par la suite et les nombreux détails des personnages vous plongeront rapidement dans l’ambiance. Le jeu ne souffre d’aucun ralentissement grâce à la faible résolution (640x480) mais il est par contre regrettable qu’on ne puisse pas opter pour une meilleure qualité. La bande son est elle aussi de bonne facture est participe grandement à l’ambiance sombre est décadente du jeu. Tout ça donne un jeu très prenant, d’autant plus que les objets portés par votre personnage apparaissent pratiquement tous à l’écran, ce qui améliore encore l’implication du joueur. Quand vous en aurez assez de partir seul à la découverte du monde, l’option multijoueurs sera là pour vous rattraper par le col et vous coller sur votre chaise pour de nombreuses heures supplémentaires. Que ce soit en réseau local ou sur le Net, vous pourrez jouer à huit sur les mêmes cartes et créer des groupes qui partagerons les points d’expérience gagnés ou encore vous combattre les uns les autres. Vous aurez deux options différentes quand vous jouerez sur Battle.net, soit jouer sur des serveurs « ouverts » où il n’y a aucun contrôle de la part de Blizzard et où vous pouvez jouer avec votre personnage solo, soit jouer sur les serveur « royaumes » (officiels en quelque sorte). Dans ce dernier cas, votre personnage sera sauvegardé sur le serveur pour éviter les innombrables problèmes de triche qu’avait connu le premier épisode (où il n’était pas rare de rencontrer un personnage avec plus d’un million de points de vie :).
En bref...
Activision nous sort son quake-like avec maintenant pas mal de retard mais bon, il est là, c'est le principal. Soldier of Fortune, c'est sûrement un des derniers jeux utilisant le moteur de Quake 2, un moteur qui a bien vieilli même si nous verrons que le travail fait dessus vaut le détour. D'ailleurs il est intéressant de suivre les modifications apportées au cours des années au moteur de Quake 2. Si Quake 2 était complètement irréaliste, plein d'aliens et de lasers, Half-Life est arrivé, proposant un univers bien plus "proche" du nôtre. Soldier of Fortune s'inscrit donc dans la continuité en proposant le summum du réalisme, la guerre, la vraie. Dans Soldier of Fortune, vous incarnez John Mullins, un des soldats américains les plus décorés pour sa bravoure et sa technicité. Une fois son contrat dans l'armée terminé, notre héros se trouve dans l'obligation de louer ses services au plus offrant et se retrouve sur tous les fronts où le gouvernement ne peut agir ouvertement. Cette fois-ci, il va falloir assurer et l'organisation de mercenaires dont font partie Mullins et son camarade Hawk, Le Magasin va être beaucoup demandée. En effet, un groupe de terroristes armé vient de s'emparer de 4 têtes nucléaires soviétiques et s'apprête à les faire péter aux quatre coins du monde. Ce boulot vous occupera tout votre temps libre pendant vos 30 prochaines missions...
Si Soldier of Fortune utilise le moteur de Quake 2, on en est en tout cas bien loin. Le rendu graphique et esthétique fait en tout cas passer le modèle original pour un immonde shareware et même un jeu comme Half-Life devient très laid. La qualité des textures employées est tout bonnement parfaite et leur diversité rend les niveaux crédibles et hyperréalistes. Grâce au procédé GHOUL initié par Raven Software, la modélisation et le réalisme du jeu atteignent un niveau encore jamais vu dans un quake-like. Par exemple, les skins des personnages sont non seulement belles mais aussi très variées avec des personnages aux têtes de gangster, tatoués de partout. L'animation n'est pas en reste et les ennemis ont des mouvements crédibles et tout aussi variés, se cachant ou fuyant pour mieux revenir avec des renforts. Les niveaux sont d'ailleurs faits de telle façon que les ennemis peuvent surgir à tous moments et de n'importe où, vous n'aurez jamais un instant de répit.
Mais le plus époustouflant dans SOF, c'est la localisation des dommages... Absolument incroyable, les impacts des balles et autres projectiles s'incrustent dans le corps de l'ennemi au centimètre près. La désolidarisation des membres devient alors tout à fait possible et têtes, bras, jambes (et entrejambes) explosent à tout va. Les mouvements des ennemis ainsi blessés respectent en plus cet état de fait en se contorsionnant ou en tombant de la manière appropriée. Je dois même avouer que l'on prend un certain plaisir à tirer sur les corps et voir les soubresauts que les balles provoquent... Pour la beauté technique j'entends... :) On retrouve l'hyperréalisme de Soldier Of Fortune dans tous ses aspects. De l'interface et des briefings assez détaillés et toujours avec cette même rigueur militaire, jusqu'au missions hyper variées, passant des couloirs du métro au Kosovo ou au Moyen-Orient. Les armes disponibles pour chaque mission seront expliquées lors des briefings et on y trouve tout ce qui se fait de mieux en armement militaire. Plusieurs pistolets, des mitraillettes, mitrailleuses et lance-roquettes et bien sûr, un bon gros shotgun à vous arracher une jambe comme du beurre. Un système d'armement secondaire est aussi disponible en permanence ave du C4, des grenades classiques ou aveuglantes et vous pourrez balancer ces cochonneries avec aisance, tout en gardant à la main votre arme principale. Les dommages de chaque arme respectent véritablement la physique terrestre et loin d'un Quake 3, je peux vous dire qu'il ne fait pas bon d'être dans le collimateur d'une roquette. En visant bien, chaque arme se retrouve être mortelle et le couteau en est la preuve incarnée.
Mélange entre Half-Life, Counter Strike et Sin pour les graphismes, Soldier of Fortune se trouve être un quake-like des plus prometteurs. Doté d'une action à 100 à l'heure où le moindre réflexe est vital, de missions solo très variées et d'un mode multijoueur solide, Soldier of Fortune ne déçoit pas, bien au contraire.
En bref...
Après l'immense succès (mérité) de Starcraft, Blizzard ne pouvait pas manquer de nous sortir un add-on. Et alors qu'on aurait pu craindre un add-on un peu bâclé, Brood War est en fait une excellente surprise! Le scénario de Brood War commence exactement là où s'est arrêté celui de Starcraft : Tassadar, le Protoss, s'est sacrifié pour détruire l'Overmind Zerg. Mais le monde des Protoss est maintenant un champ de ruines, infesté des Zergs survivants. Au cours de l'aventure on verra notamment revenir Kerrigan. Mais passons aux choses sérieuses: Brood War propose 26 nouvelles missions (dont 10 pour les Zergs), variées et bien conçues. 3 nouveaux types de terrains font d'ailleurs leur apparition. Côté unités, Blizzard nous offre 6 nouvelles unités (2 par race), ainsi que de nouveaux upgrades sur certaines unités, qui vont vous obliger à revoir pas mal de vos stratégies! Chez les Terrans, le Medic comme son nom l'indique soigne les troupes pendant le combat, rendant d'un coup les troopers beaucoup plus dangereux! Le Valkyrie quand à lui est une unité volante très puissante. Les Protoss quand à eux sont dotés des Dark Templar, invisibles et redoutables, et le Corsair, un appareil volant. Les Zergs ne sont pas en reste, avec le Lurker, un upgrade de l'Hydralisk qui les rend encore plus dangereux en défense, et le Devourer, qui crache de l'acide. Et ce n'est pas tout, 2 Dark Templar par exemple peuvent fusionner pour créer un Dark Archon, une unité terrifiante, dotée de pouvoirs comme le contrôle de l'esprit, qui vous permet de prendre le controle de n'importe quelle unité ennemie et de la télécomander! Cerise sur le gâteau, Blizzard a inclus sur le CD, non pas 10, ni 20, mais 100 nouvelles maps pour les parties en multijoueurs, de quoi s'amuser un bon moment. A noter que l'installation de Brood War inclus le patch 1.04, qui équilibre les forces entre les races et corrige la plupart des bugs génants. Starcraft était déjà un chef-d'oeuvre, et avec Brood War on s'approche de la perfection. Les nouvelles unités apportent un souffle nouveau au jeu, et prolongent son intérêt. Un add-on indispensable pour les possesseurs de Starcraft! En bref...
HALF LIFE : (LE jeu de l'année 99) Le héros se nomme Gordon Freeman, un scientifique tout à fait normal, affecté à je ne sais quelle expérience dans un labo ultra-protégé. Le jeu commence par un espèce de "Ride". Vous êtes dans une sorte de métro, qui va pendant tout le générique traverser une partie du complexe, pour s'enfoncer de plus en plus loin dans le labo. Et c'est en sortant de la salle que vous voyez que quelque chose a changé : des sortes de mutants se baladent dans les couloirs et attaquent les scientifiques, plus rien de marche... Bref ca ne va pas. Vous allez donc essayer de sortir de là par tous les moyens. Bon tout cela est bien joli, mais qu'est-ce qui rend Half-Life si génial? La première chose est qu'il y a un véritable scénario. Tout au long de l'aventure, vous rencontrez des scientifiques ou des gardes, qui vous parleront, et petit à petit dévoileront une sombre histoire. L'atmosphère, particulièrement oppressante, rend le joueur complètement parano. Petit exemple : un garde de sécurité vous dit que les marines arrivent pour sauver tout le monde, alors quelle joie lorsque vous apercevez le premier... jusqu'à ce que vous le voyiez assassiner un scientifique qui passait par là, sans aucun remord. Eh oui, les marines ne sont pas venus pour nous sauver mais pour nettoyer ce foutoir! L'intelligence artificielle fait vraiment la différence par rapport aux autres jeux. Dans Quake ou Unreal, les adversaires vous voient, vous tirent dessus, et c'est tout. Alors que dans Half-Life, ils réagissent de façon réaliste, communiquent entre eux... L'un d'eux par exemple fera un tir de barrage pour vous forcer à vous cacher derrière un mur, alors qu'un autre vous balancera une grenade. Si vous vous cachez, il viendra vous chercher, si vous lui tirer dessus il tentera de se protéger... Bref pour la première fois on a réellement l'impression de se battre contre des adversaire humains en réseau! Les aliens quand à eux ont un comportement qui semble réaliste, même s'il est en général moins évolué que celui des humains (mais après tout qui sait comment se comporte un alien!). Tout ca contribue à renforcer la peur ambiante... L'adrenaline monte beaucoup plus lorsqu'on se trouve en face de 3 marines dans Half-Life que lorsqu'on affronte 10 monstres dans Quake! Les armes quand à elles sont superbes. Au nombre de 14, elles vont de la simple barre à mine, au pistolet, pistolet mitrailleur, fusil à pompe, bazooka, jusqu'à des armes "expérimentales", comme une sorte de rayon, mais je vous laisse la surprise pour les autres! On a aussi accès à des grenades, des mines à laser (un peu comme dans duke), des bombes à télécommande, etc... Et pour ajouter à tout cela certaines armes ont même 2 modes de tir différents. Elles sont toutes extrèmement bien dessinées, leur comportement est réaliste, et il faut même penser à les recharger pour ne pas se trouver avec un chargeur vide au milieu d'une fusillade... Half-Life utilise le moteur de Quake 2, très, très, amélioré. En fait il est tellement amélioré qu'on ne le reconnait pratiquement pas, sinon dans sa jouabilité caractéristique. Les textures 16 bits sont toutes très bien, et de nombreux petits détails apportent un réalisme sans précédent: halos autour des lumières (classique), les explosions les plus réalistes que j'aie vues jusqu'à présent (notamment pour les grenades)... etc. Même les personnages sont réalistes : lorsqu'on parle à quelqu'un, il tourne la tête vers nous, et ses lèvres bougent! L'interaction avec les personnages est un point clé du jeu. Ainsi on peut demander à un garde de nous suivre, il pourra ainsi prêter main forte pendant un combat, ou ouvrir des portes dont on ne connait pas le code. Bref Half-Life contient toutes les qualités d'un jeu comme Quake ou Unreal, en y apportant tout ce qui lui manquait : un scénario, des monstres réellement intelligents.... Et pour couronner le tout, Half-Life fonctionnera plutôt bien sur un P166 pourvu que vous ayez une 3DFX! On cherche encore les défauts... A vrai dire rien de notable, si ce n'est les temps de chargement réguliers (le jeu tout entier étant un seul monde immense), mais ceux-ci durent rarement plus de 2 ou 3 secondes, alors c'est tout à faire supportable. En conclusion : Half-Life est un must. On attendait un très bon jeu, Valve a fait encore mieux que ce qu'on attendait ! Du grand art!
Quel est le jeu on-line le plus joué au monde ?... C'est bien Counter-Strike dont les serveurs affichent une fréquentation supérieure à Quake III et Unreal Tournament réunis (les statistiques émanent de Gamespy). Pas mal pour un mod, non ?
Cette version 1.0 ne décevra personne. Évidemment, on trouvera toujours quelques geignards qui vont se plaindre de deux ou trois détails, mais dans l'ensemble, Counter-Strike a désormais la carrure d'un produit professionnel, avec un gameplay qui frôle la perfection et une réalisation technique sans défaut. Toutes les cartes un peu faiblardes, on ne trouve plus que la crème des maps, que ce soit les grandes classiques (cs_assault, de_dust...) ou celles, plus récentes, qui comportent un paquet de textures originales de qualité (de_cbble, cs_arabstreets, cs_italy...).
Trois nouvelles armes ont été ajoutées (un fusil de snipe moyennement puissant, un UMP45 et un petit flingue), mais ce qu'on retiendra surtout de cette version 1.0, c'est la grosse amélioration au niveau des modèles de persos. Ceux-ci bénéficient de nouvelles skins beaucoup plus détaillées qu'avant, et d'une refonte complète de leurs animations. C'est pas encore du niveau de Rogue Spear, mais les mouvements sont nettement plus réalistes, plus fluides et plus variés.
Maintenant que le développement de Counter-Strike est pratiquement terminé, il y a un paquet de monde qui se demande sur quoi va bosser Gooseman, son très respecté créateur. Officiellement, il n'y a encore rien d'annoncé, juste des rumeurs. On est à peu près sûr que la version 1.0 de Counter-Strike ne sera pas la dernière et qu'il devrait y avoir d'autres mises à jour, mais elles seront surtout là pour patcher les inévitables bugs et il n'y aura plus de gros changements au niveau du gameplay. En revanche, en ce qui concerne les projets futurs de l'équipe de développement du mod, c'est la grande inconnue.
Dans une récente interview, Gooseman dévoilait qu'il était intéressé par la proposition d'un "groupe militaire européen", qui souhaitait l'embaucher pour créer un jeu destiné à l'entraînement des troupes. On y croit à moitié, vu que Valve, qui a déjà mis le grappin sur ce jeune homme en lui fournissant une aide financière et technique, souhaite sûrement exploiter son talent. On peut alors se laisser rêver en imaginant un hypothétique Counter-Strike 2 en jeu complet, ou même une seconde version du mod intégrée cette fois-ci à Team Fortress 2, le prochain jeu de shoot de Valve qui devrait arriver l'année prochaine. En attendant, on a quand même de quoi bien s'éclater.
En bref...
NEED FOR SPEED Conduite en état de liberté : On ne change pas une recette qui marche, Electronic Arts l'a bien compris, avec la sortie chaque année d'un nouveau FIFA, et pour ce qui nous intéresse aujourd'hui, déjà la sortie d'un quatrième opus de la série des Need For Speed, intitulé cette fois Need For Speed : Conduite en Etat de Liberte. Si ce nom ne vous dit rien, c'est normal, le titre anglais était en fait "Need For Speed : High Stakes" (Need For Speed : Super Enjeu). Ce nouvel épisode a au moins le mérite de ne pas dépayser. C'est toujours un jeu de course très orienté arcade, où l'on a recherché la beauté des graphismes et les sensations plutôt que le réalisme. On retrouve donc avec joie la qualité de réalisation qui est devenue caractéristique de la série... Menus travaillés, graphismes 3D extrèmement détaillés, et surtout les voitures de rêve, au nombre cette fois de 18. Parmi les voitures disponibles, on peut citer par exemple la BMW Z3, Ferrari 550, Mercedes CLK, Jaguar XKR, etc. De nouvelles voitures seront d'ailleurs téléchargeables sur le site officiel du jeu (needforspeed.com). Avec un peu moins de joie, on retrouve aussi la lourdeur de conduite caractéristique des Need For Speed... L'impression de vitesse semble un peu mieux rendue qu'auparavant, mais on a encore un peu la sensation de conduire un semi-remorque, c'est dommage. Cela dit, on s'y fait vite et la conduite reste très fun, même si elle aurait pu l'être un peu plus... Mais NFS: CEEDL propose tout de même des nouveautés. On peut maintenant abîmer les jolis bolides quand on a des accidents, fonction qu'on attendait depuis longtemps... Les voitures restent encore incroyablement solides par rapport à ce qu'on leur fait subir, mais elles ne sont plus indestructibles. Un nouveau mode de championnat fait du coup son apparition. Le joueur part en effet avec une somme d'argent fixée, qui lui servira à acheter sa première voiture. Voiture qu'il pourra améliorer, ou changer lorsqu'il aura plus d'argent (argent obtenu bien entendu en gagnant des course). Arriver à la fin du championnat devient alors extrèmement long, mais motivant. Les courses en elles-mêmes peuvent se dérouler de différentes façons. Les modes "course normale" et "knockout" (challenge en français, le joueur fait une série de courses, dans laquelle le dernier arrivé est éliminé à chaque fois). Un nouveau mode apparaît. En mode "Super Enjeu" (High Stakes en anglais), vous jouez le tout pour le tout: le gagnant remporte la voiture de son adversaire! Le mode Poursuite a quand à lui été conservé, et bénéficie de nouveaux sous-modes. "Délit de fuite", dans laquelle vous devez faire la plus grande distances sans vous faire attraper par les policiers, et "Poursuite" le mode normal, dans lequel vous devez aller plus vite que votre adversaire, tout en évitant les policiers. Need For Speed reste donc égal à lui-même: un peu plus beau à chaque fois, quelques fonctions supplémentaires... Si vous avez déjà NFS 3, son achat ne s'impose pas, sauf si vous voulez absolument profiter des nouvelles voitures et des nouveaux modes de jeu. Cela dit NFS reste d'excellente qualité, une "valeur sûre" pourrait-on dire... En bref...
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